En cette semaine de Fête Nationale, on vous propose de l’impression 3D au service du cyclisme et de l’Armée de Terre, un bras robotique qui imprime en métal et une imprimante 3D dotée d’une tête d’impression connectée en USB !
Impression 3D titane pour vélo électrique
L’impression 3D dans le cyclisme existe depuis plusieurs années et est arrivé plus récemment sur des accessoires tels que la selle de vélo. Très haute performance et donc encore réservé aux vélos haut de gamme dont les VAE / eMTB, Sandvik utilise de la poudre de titane pour aider GSD Global à concevoir des vélos à assistance électrique avec une réduction de coûts de l’ordre de 75% grâce à ce procédé de fabrication additive dont Sandvik est le spécialiste.
Hackathon militaire
En complément de la vidéo de la semaine dernière, le Hackaton MILI 3D s’est déroulé à la Caserne Martin des Pallières pour ce premier défi de l’Armée de Terre et la fabrication additive. Marsouins, bigors et sapeurs de marine d’une brigade d’infanterie ont planché sur les possibilités de la fabrication additive pour les aider sur le terrain. Premiers utilisateurs du matériel, ces militaires ont ainsi pu réfléchir et imaginer comment améliorer leurs équipements à l’aide d’imprimantes 3D.
L’impression 3D métal WAMM par MX3D
Nous vous avions déjà parlé du bras robotique de MX3D, voici la suite de la présentation du constructeur néerlandais. Le bras fonctionnel est imprimé avec la technologie Wire Arc Additive Manufacturing (WAAM).
Biqu B1, une imprimante avec tête d’impression connectée en USB
Cette semaine, un nouveau constructeur d’imprimante 3D a fait son entrée dans le comparateur. Il s’agit de Biqu (que vous connaissez probablement par les cartes mères et écrans BigTreeTech), avec la B1. Cette machine au volume d’impression plutôt classique de 235 x 235 x 270 mm embarque un bon lot d’équipements “premium”, de la carte mère 32 bits à l’écran TFT35 en passant par le lit amovible magnétique et flexible, le capteur de filament, les LED RGB et la préparation pour BL Touch. Cependant, elle se démarque de la concurrence avec une tête d’impression connectée par USB Type-C ! Pour plus de détails, n’hésitez pas à consulter la fiche produit.
Quid de l’utilité réel de l’USB-C… Mais a part cela elle possède des option sympathiques.
Un système plug & play pour faire évoluer la machine / la transformer en CNC / réparer si buse HS / c’est mieux que des câbles avec connecteur propriétaire ?
C’est vrai que ça n’apporte pas grand chose de plus qu’un connecteur molex ou équivalent. C’est peut-être plus sexy et surtout plus abordable par le particulier qui n’y n’aime pas bidouiller ?