Alors que les technologies de l’impression 3D n’en sont qu’à leurs balbutiements dans le domaine médical, le service de chirurgie maxillo-faciale du Centre Hospitalier Universitaire de Dijon a décidé de faire de cette révolution un usage quotidien de manière opérationnelle. Pour le chef du service, Professeur Narcisse Zwetyenga, cette technologie promet de nombreuses améliorations thérapeutiques.
Cette technique permet de réduire les risques liés à la chirurgie reconstructrice qui peut être lourde et pointue en apportant précision et sécurité tout en faisant gagner un temps non négligeable.
Ce n’est qu’un début, il y a fort à parier que l’impression 3D soit adoptée massivement comme ce fut le cas pour la “chirurgie numérique” d’ores et déjà incontournable. D’autres CHU ont d’ailleurs déjà manifesté leur intérêt pour ce genre de pratique.