Buttercup est le second animal à survivre grâce à l’impression 3D. Beauty l’aigle à tête blanche a eu droit à un nouveau bec imprimé en 3D, Buttercup le caneton a quant à lui bénéficié d’une patte tout droit sortie d’un ordinateur équipé d’un logiciel de CAO. A l’origine, le petit animal est né dans un laboratoire de biologie d’une école avec une patte mal formée. Malgré les efforts des apprentis biologistes pour le soigner, le canard ne pouvait pas se déplacer correctement. Il a donc été envoyé au Feathered Angels Waterfowl Sanctuary, un établissement spécialisé dans la palmipèdes. Le responsable Mike Garey a immédiatement décidé de l’amputer pour lui greffer une patte imprimée en 3D en lieu et place des traditionnelles pattes de bois.
C’est la société NovaCopy qui s’est chargé bénévolement de l’impression 3D. La patte artificielle a été reproduite en CAO à partir d’une photo de celle de sa sœur, la petite canne Minnie. La prothèse a finalement été imprimée en silicone, une matière souple et flexible qui devrait bien se substituer à la patte amputée.
Il n’y a pas de doute, toutes les espèces vivantes confondues ont de beaux jours devant elles grâce à l’impression en 3D.
Le cout de l’impression 3D au total avec les consommables ça doit couter cher non ? ça doit pas être donné non plus…Je préfère acheter l’objet fini par un industriel, au moins j’ai une garantie sur mon objet 3D en cas de casse.
L’avantage de l’impression 3D c’est aussi de pouvoir imprimer ce que les industriels ne font pas ou plus.
Mais il est vrai que les “early adopters” sont principalement des geeks ou passionnés de 3D qui veulent bidouiller ou faire évoluer la technologie, pas des utilisateurs en quête d’économies.