La semaine dernière, BigRep a conquis les amateurs de cyclisme avec un pneu sans air imprimé en 3D. En parallèle, le Caracol Studio présentait une aire de jeux pour enfants imprimée en 3D. Les fans de films d’horreur ont pu découvrir un effrayant monstre également issu de la fabrication additive. Une technologie d’ailleurs promue dans le secteur de l’automobile et plus précisément les courses de Nascar aux Etats-Unis. La Corée du Sud investit quant à elle dans l’impression 3D médicale.
Pneu sans air pour vélo
Le constructeur d’imprimantes 3D grand format BigRep a présenté un pneu de vélo sans air. On connait les pneus tubeless, sans chambre à air, mais pas encore le pneu sans air. Il a été imprimé avec du Pro Flex, nouveau filament flexible TPU de BigRep qui offre élasticité et longévité. Une utilisation détournée et originale de l’imprimante 3D XXL.
Un terrain de jeux imprimé en 3D
Une aire de jeux dédiée aux enfants a été imprimée en 3D par Caracol Studio. A découvrir dans cette vidéo mais on se rend vite compte que les équipements imprimés ne sont pas aussi beaux que les oscillants habituels des parcs de loisir et il serait étonnant que ces impressions répondent aux normes de sécurité AFNOR.
Un monstre imprimé en 3D
Carlos Huante nous raconte comment il a utilisé un casque de réalité virtuelle Oculus Medium pour modéliser son montre. Il l’a ensuite fabriqué avec une imprimante 3D pour l’exposer au Monsterpalooza, une convention annuelle sur le thème de l’horreur.
L’impression 3D débarque en Nascar
La course automobile NASCAR se voit maintenant sponsorisée pour promouvoir l’impression 3D. Ces voitures de série déguisées peuvent allègrement utiliser la fabrication additive pour leurs carrosseries légères. Bientôt un Cars 4 avec Flash McQueen imprimé en 3D ?
La Corée du Sud investit en impression 3D médicale
Le Ministère des Sciences de la Corée du Sud a annoncé investir plus de 30 millions d’euros pour développer les techniques d’impression 3D dans le domaine médical. Une entreprise nationale sera sélectionnée pour être subventionnée, à moitié par l’Etat et l’autre moitié par le secteur privé, afin d’acquérir une expertise en appareils de rééducation et pour créer des prothèses.