Une semaine assez classique avec des organes imprimés en 3D pour les étudiants en médecine et des semelles de chaussures. Mais côté automobile, c’est Lamborghini qui se met à utiliser des imprimantes 3D et découvrez également les premières images de la Moira DF3, une imprimante Delta chinoise qu’on vient tout juste de déballer.
Unboxing Moira DF3
Egalement connue sous la marque Dedibot, l’imprimante 3D Moira DF3 intégrait notre comparateur il y a quelques semaines. Encore peu connue des makers (à l’échelle française tout du moins), on a décidé de la tester en partenariat avec GearBest. C’est son côté design et fermée ainsi que ces fonctionnalités automatisées qui nous ont séduits. Sa cinématique Delta marque une différence importante vis-à-vis des machines plébiscitées en ce moment (Alfawise U20, Creality Ender 3…). En attendant le test complet pour savoir si elle vaut vraiment le coup malgré son volume d’impression réduit, découvrez le contenu du colis dans cette vidéo unbox Moira DF3 :
Lamborghini imprime des pièces en 3D pour son Urus
Pour équiper son luxueux SUV, Lamborghini a choisi de fabriquer certaines pièces en impression 3D. Le Urus se voit ainsi paré d’une trappe à essence et d’une fixation pour conduite d’air produits en fabrication additive, en partenariat avec Carbon. C’est la résine EPX 82 qui a été choisie pour ces pièces qui doivent être durables, esthétiques et de qualité. La technologie utilisée est le DLS, pour Digital Light Synthesis, combinée à la résine epoxy de Carbon.
Dassault Systèmes va faire des semelles de chaussure en 3D
Dassault Systèmes s’est associé à Dow et ECCO pour créer des semelles de chaussures en impression 3D. La gamme QUANT-U de la marque ECCO est développée pour une production innovante avec du silicone liquide, un matériau maitrisé par Dow. Les objectifs sont d’avoir une semelle adaptée au pied, élastique et rembourrée. Et on ne parle pas de chaussures de ville mais des baskets pour courir, des ballerines pour danseuses et des chaussures à talons. Les premières paires seront commercialisées à partir de la fin du mois d’avril.
Des organes imprimés en 3D pour les étudiants en médecine
Encore des étudiants en médecine qui vont découvrir l’impression 3D durant leur scolarité. C’est une méthode en vogue pour initier nos futurs médecins sur des cas inhabituels ou pour rendre plus réalistes les habituels organes de plastique. Découvrir l’anatomie à travers l’impression 3D, c’est aussi les préparer à utiliser plus tard cette technologie pour fabriquer des orthèses, par exemple.
