Grosse nouvelle qui va surement déchaîner les médias tout autant qu’elle va révolutionner l’industrie, bien plus que le Liberator, ce pistolet en plastique imprimé en 3D à usage quasi unique. Solid Concepts, un des leaders mondiaux de l’impression 3D, présente le premier pistolet en métal fabriqué avec une imprimante 3D reposant sur la technologie DMLS, à l’exception de certaines pièces comme des ressorts ou la poignée. L’arme qui reprend un design classique de 1911 a déjà exécuté 50 tirs consécutifs avec succès, dans un premier temps fixée sur un support de test puis dans les mains d’un (courageux ou confiant selon les points de vue) tireur.
La société se targue de faire ça légalement grâce à sa licence FFL (Federal Firearms License) et de pouvoir délivrer des armes personnalisées et uniques à ses clients en moins de cinq jours.
De plus, selon Solid Concepts, le frittage laser permet de réduire la porosité des pièces qui peuvent en plus être beaucoup plus complexes que quand elles sont réalisées avec les procédés de fabrication habituels.
Cela risque de devenir réellement inquiétant quand les imprimantes 3D métal commenceront à se démocratiser…
Cette technologie est magnifique, mais elle arrive tôt par rapport à notre mentalité actuelle, cette technologie va changer beaucoup de chose, beaucoup en mal, avec peut-être plusieurs années ensuite une prise de conscience sur la mentalité actuelle de nos société.
Faut pas trop se voiler la face, dès que ces imprimantes métal seront dispo, on va commencé à voir des armes dans les banlieue, (et en France en général, ce qui n’est pas le cas pour le moment) même si il y en as actuellement, ça va devenir plus voyant, plus dangereux.
Les imprimantes par frittage laser coutent plusieurs centaines de milliers d’euros et existe déjà depuis 1980.
Les armes qui circulent sont acheté à un prix dérisoire au marché noir.
Par exemple 400 à 2000 euros la kalachnikov contre 200000 à 400000 euros l’imprimante par frittage laser.
Le choix est vite fait.